Palais des Eupatrides

Ptolémée entend un bruit dans sa belle Cour devant sa somptueuse entrée... Il réfléchi en se disant qu'il aurait pas dû acheter ce Palais comme tout allait mal pour lui... Bientôt allait-il finir sur la paille s'inquiétait-il... Mais quoiqu'il en soit, il voit une splendide jeune femme courir se cacher... Ptolémée s'est dit qu'elle viendrait surement lui parler une fois qu'elle n'aurait plus peur!

Mais en attendant, il alla répondre à la porte, et vit avec joie qu'il s'agissait de Zoroastre:

AH! Zoroastre, mon cher ami! Mais entre donc! Que me vaut le plaisir de ta visite? Mais tu fais une drole de tête, qu'est-ce qui ne va pas? Allez, viens entre, allons parler à un endroit ou nous serons plus au calme pour discuter...

Ha, ptolémée!
Heureux de te voir. Voilà... Je voulais te parler de l'Héliée... Puis-je entrer? Nous parlerons plus à l'aise.

HJ: entrée en matière plus du tout d'actualité, vu que tu es venu à l'héliée, et que la discussion est lancée

Maria, ayant presque terminé la visite du Palais entendit un grand bruit résonné dans la Cour. Elle accourut à une fenêtre pour voir se qui se passait. Elle vit une ombre se faufiler entre les débris de la statue maintenant brisés! Maria edscendit dans la cour, au passage salua Zoroastre et Ptolémé et alla vers les débris. Elle examinait tout cela quand elle vit la jeune femme.

C'était une belle femme qui avait l'air de quel'un ayant fait une grosse bêtise (mdrrr)

Bonjour! Je m'appelle Maria et je vis ici. Mais qui es-tu donc? Ne t'inquiète pas pour cette statue. Elle était déjà brisée de toute façon! Entre je t'invite à boire quelque chose et tu me parleras de toi!

Maria lui fit un signe pour venir et toutes deux se dirigèrent vers le palais.

Hj: Allez hop petit saut temporel!

Ej:
5 ans plus tard les deux cousins avec leur petite famille s'en retourne dans leur palais. Beaucoup de poussières mais aussi beaucoup d'esclaves pour faire la poussière. Bref en peu de temps le palais a repris de sa superbe.

Les deux cousins en profitent pour se reposer dans leur demeure.

Alcibiade se dirigea vers le palais des Eupatrides, il voulait rencontrer Pirus, le propriétaire de ce foyer béni d'Hestia.

Hola Pirus Graccus fils de la maison des Eupatrides, des Aristoi d'Athènes, protégé de Zeus et Béni d'Athéna. Que les exploits et l'honneur de votre famille soit entendu par Hermès le messager et répéter en Olympe pour que les Muses puissent chanter la gloire éternelle que les exploits des hommes leur permette de revendiquer.

Je viens solliciter ton orreille et ton attention ainsi qu'un peu de ton important temps que tu prends pour t'occuper des tes honorables affaires et des précieux gens de ta maisonné. Nous devons parler. Seul à Seul.

Surtout ne prend pas peur, je ne viens pas pour te menacer des avances dont je suis réputé légendaire envers les hommes à la virilité de taureau et la svelte d'appolon. Je te sais mariée à une épouse enviable et bien réputée. Je dois par ailleurs regretter ma conduite légère devant elle à la taverne, l'adultère étant puni de fouet, je ne tiens pas à associer mon nom à si vilaine rumeur. Pardonne à un jeune homme à la langue trop vive, parole audacieuse à ta jeune douce motiée.

Mais trève de coquetteries, je viens pour affaire d'hommes, et non de femmes, gardons l'humour pour honorer Dionysos en buvant le nectar sacré. Puis-je parler?

Hj: Bah dis donc c'est que je suis demandé!

Lisant la missive...


Puis voyant Alcibiade cache la missive en son seing.

Allons voyons Alcibiade toi un jeune homme? Il va falloir trouver mieux. Allez entres donc que je t'offre de notre meilleur vin à l'une des légendes d'Athènes. Cela me fait plaisir de te voir et te recevoir.

Je suis heureux qu'en pensant à moi tu touches ainsi ton sein! Cela est bien.

La jeunesse n'est qu'une expression, la sagesse elle est une impression. Seul la chaire est réel et la douce peau des nymphes si belles.

Te voila de retour des tes champs béni de la déesse Démeter, à la grâce si légère, ce vin est t'il originaire de ces terres? Je prendrais une coupe de la région Képhisia à l'ombre des mont Pentélique mais à la lumière de Déméter. Ou sinon du vin de la douce Ikaria sur la route de Marathon la ou régnait les tyrans félons.

Je ne suis pas une légende, car je ne suis pas encore mort, Hadès m'évite, il a assez de bouffons sur les rives du Styx, Thémistocle et Tsartias, traitres à l'Olympe et la concorde des hommes.

Mais avant d'être ivre il faut parler. Du futur et du passé. Comme un lézard qui rampe je viens vers toi, implorer le pardon et la réconcilitation. De notre temps nous avons été victime de disputes et d'intrigues. L'orgeuil contre l'ambition, la fierté contre l'insurbodination. Le sol tremblerait d'une nouvelle confrotation.

Au temple de Zeus il faut nous rendre pour abattre un boeuf en son honneur, boire son sang il nous faut pour partager le présent aux dieux offert. Ainsi l'amitié pourra être rescellé si jamais tu la trouve mérité. Que penses tu de ma proposition fils de Phoebé?

Ensuite j'ai une autre idée à te conter.

Amusé par la tournure de la phrase, Pirus ne peut s'empêcher de sourire. Mais au fur et à mesure Pirus reprend une attitude plus digne de lui et écoute ce qu'a à lui dire Alcibiade.

Alcibiade, je n'ai pas ton habileté à manier les mots néanmoins sache que je serais heureux que notre amitié soit rescellée. A vrai dire je n'en attendais pas moins de toi.

Le passé nous a séparé, tu avais choisi une voie que j'avais repoussé mais aujourd'hui mon ostracisme m'a fait comprendre beaucoup de choses. Si nous souhaitons retrouver la gloire d'Athènes il faut nous allier et en cela tu trouveras un ami fidèle et précieux!

Tu es plus habile que tu le crois.

Le passé nous as séparée par des mesquines ambitions. Politique et pouvoir, nous avons désormais muri, et d'autres voies nous intéresses. Art et Culture peut-être. L'éducation de nos enfants et de nos pairs, leur enseigner nos coutumes et nos récits, ce qui concerne le service des dieux et de la cité.

Je propose que nous travaillons autrement à la gloire d'Athènes que par des luttes politiques, j'ai découvert dans mes voyages en Asie que ce qui fait la grandeur d'une nation ou d'une cité, c'est sa culture et non le verbe de ces politiciens. Une fois notre cité aura une culture rayonnante, il ne vas pas de doute, que les succès dans les autres domaines se succèderons.

J'ai donc décidé de travailler à la culture de notre cité, aux valeurs d'excellance de nos frères et à l'illumination artistique de notre cité. Je crois que tu pourrais t'associer à ce genre de projet.

J'ai pensé que toi et moi pourrions ouvrir une école, une école de grammaire, afin d'enseigner aux enfants et aux plus vieux, la synopsis du language, la mécanique des mots et l'art de discourir et de parfumé ces discours. Qui dit grammaire dit bonne éducation, nous préparerions une relève digne de nos noms et de nos ancêtres. Il faudra aussi encourager les fêtes religieuses.

Ce projet me semble plus significatif que de nombreux projets de lois.

Maintenant Pirus est le plus sérieux du monde. Il sirote le vin et se délecte de son nectar.

Ta proposition me touche réellement Alcibiade. Je vais y réfléchir mais je cois bien que je vais accepter. Cela sera un exemple pour nos enfants et leur permettra de devenir des athéniens confirmés sachant déjouer les pièges de la vie.

Une petite lueur de malice apparait dans le regard de Pirus.

Oui je crois que je vais acepté ton offre.

Maria arriva au Palais et croisa son époux Pirus et Alcibiade. Avec un grand sourire et les salua

Bonjour les deux! elle embrassa Pirus et se tourna vers Alcibiade Eh bien comment allez-vous??? oh...je l'impression de vous avoir déranger (hj: seulement l'impression mdrrr)

Heureux de voir son épouse.

Mais non voyons tu ne nous déranges pas. Alors tu as passé un belle journée?

Maria afficha alors un grand sourire

Oui, mais très fatiguante! Je me suis rendue à l'ecclésia et sinon je me suis promener et j'écrit des pièces! La routine quoi!

Et toi? comment était la tienne?

Maria s'assit près d'eux, à 'ombre car la température était très chaude!

Et bien comme tu peux voir je recevais notre ami Alcibiade. Il avait des projets intéressants à me communiquer. D'ailleurs si Alcibiade n'y voit pas d'inconvénients tu pourrais y être convié. Mais pour le moment nous ne discutons que d'un futur théorique.

Je serais ravie. Quand vous voudrez bien, expliquez-moi un peu de quoi il s'agit ! Mais quoi qu'il en soit je suis sûre que c'est un projet très intéressant!

Bien cette école sera un bon projet je crois. Nous commencerons avec quelques mâitres que nous engagerons , et quelques étudiants des familles d'Aristois, mais nous prendrons quelques jeunes du peuples que nous feront la gratuité de leur frais, afin de dispenser à tous le savoir des lettres et de la réthorique.

Je m'occupe des détails, mais crois tu que nous pourrions commencer les cours chez toi, jusqu'a ce que nous trouvions un lieu acceptable pour cela. Si Maria nous aide dans ce projet nous pourrions peut-être enseigner à quelques jeunes filles mêmes.

/Ayant appris le retour de son ami , de celui qu'il considere presque comme son frere, Gregos se presse vers le palais des eupatrides et demande a etre recu/

Très bien. Moi je serais d'accord pour vous aider....je dois bien trouver du temps pour me consacrer à ça!

C'est Ptolémée lui-même qui vient ouvrir la porte. Après un moment de stupeur en voyant son ami de toujours, le frère qu'il n'a jamais eu, apparaître devant lui, il se précipita vers Gregos en le serrant fraternellement dans ses bras:

Par Zeus je ne rêve pas?! GREGOS! Tu n'imagines pas la joie que cela me fait d'enfin te revoir!!! Ahhh! Je vois que tu n'as pas changé, vieille branche... je suis heureux de te voir toujours aussi resplandissant.

Mais entre seulement, allons, nous avons tant de choses à nous raconter, et tant de temps à rattraper...

Puis plus bas, après avoir regardé autours de lui:

Allons, nous allons aller au plus profond de notre Palais, loin des oreilles indiscrètes...

Ptolémée amène Gregos au centre du Palais... après un long moment de marche, ils arrivent dans une petite cour intérieure, avec un jardin verdoyant et fleuri . Au milieu, un petit bassin,où coule une raffraîchissante fontaine de marbre. Les deux hommes vont s'asseoir sur les sièges surmontés de coussins, qui semblaient les attendre. Une fois assis, Ptolémée appelle son majordome:

Amène-nous donc un amphore de mon Vin de Laurion... Celui-de la réserve spéciale s'il te plait!

Toujours en attendant le vin...

Alors cher ami... Comment ça va pour toi depuis ton retour à Athènes?! Et qu'es-tu devenus durant ces cinq longues années?!

Et bien j'ai passé cinq longue année loin d'athenes a roder avec mes chevres...
Mais tout ce temps n'a pas ete perdu , j'ai receuilli un enfant abandonné romulos et je l'ai formé guidé vers une nouvelle vie , j'en ai fait un chevrier et aujourd'hui c'est lui qui guide mes troupeaux a travers les montagnes de notre belle attique...
Et c'est lui qui un jour viendra me succeder...

Hj: je continue avec Alci

Ej:

Et bien cette solution peut-être intéressante pour les débuts mais je devrais tout de même demander l'accord à mon cousin. Cette demeure nous appartient autant à l'un qu'à l'autre.