Maison d'Alcibiade

Alcibiade fait quelques pas.

Médée tu es la? Viens ici je te prie....

Alors Médée change d'hatitude du tout u tout... Elle reprend son air froid et détendu. il est temps...

Elle rejoin Alcibiade.

"Bonsoir.... Ta journée c'est bien passée?"

Les journées sont toujours étranges à Athènes... Tout n'est pas rose, mais tout n'est pas noir non plus. Je suis triste de voir ma cité à une époque ou nous trainons dans les bas-fonds, mais j'ose espérer que notre travail pourra profiter aux enfants de tous.

"Oui..."

Une très légère gène passe sur son visage. Elle vien l'aider à se défaire de sa tunique, et en dépose une plus légère sur ses épaules.

"ton nouveau poste te plais?"

J'ai déja occupé ce poste, mais servir mes concitoyens est certainement ce qui me plait le plus. Mais il y a beaucoup de travail, et le role est parfois ingrat. Pensez aux intérets de tous est très difficile, la plupart des gens ne veilles qu'a leur intérets direct ou à ceux de leur amis.

Tu es étrangement gentille ce soir, qu'a tu fais de mal?

Elle fronce légèrement les sourcils.

"Ai je besoin de faire quelque chose de mal pour être gentille Je pensais qu'enterrer la hache de guerre pour un soir te ferai plaisir, mais puisque ce n'est pas le cas..."

Elle se dirige vers le balcon, les bras croisés, fixant le jardin avec ennervement.

Ce n'étais pas un reproche mais une question, je ne suis pas habitué à recevoir des fleurs de ta part, mais plutot des éclairs de tes yeux...

Il la rattrape.

Je suis désolé d'avoir insinuer cela. Je suis au contraire ravi de te voir de bonne humeur.

Médée se dégage, elle semble soudain redevenue farouche.

"Laisses moi...."

Il la relache, et s'éloigne de nouveau... Médée tressaille, et ferme les yeux. Puis elle soupire doucement, et se tourne vers lui de nouveau.

"J'ai vu ta fille il y a peu..."

Ah oui? Au temple d'Athéna? Ou as tu commencer à lui apprendre ce que je t'ai demander de faire?

"Non, je voulais juste faire sa connaissance pour le moment... C'est une joli petite fille..."

Elle sert un verre de vin, qu'elle avale d'un trait avant d'en apporter un à Alcibiade. Elle plonge alors ses yeux dans ceux d'Alci.

"Combien de temps comptes tu me garder près de toi?"

La question est bonne...

L'orgueil me demande de te garder....la convoitise aussi....ainsi que l'envi...

La sagesse me demande de te libérer....la prudence aussi....ainsi que la compassion...

Si je te relâche restera tu avec moi? Car je te l'ai dit j'ai besoin de toi pour des choses très importantes.

Elle reste un moement silencieuse.

"Rester avec toi? Et à quel titre? Soubrette?"

Il me faudrait y réfléchir... pour le moment tu restes mon esclave c'est plus simple.

Les dieux choisiront ton destin à l'heure qu'ils désireront, et ils me le feront sans doute savoir.

Tu n'es pas si prissionnière que cela, tu as beaucoup de liberté pour une esclave....peut-etre même plus d'un homme libre comme moi qui as beaucoups d'obligations...

"C'est ce que tu te plait à croire...."

Médée lui met la coupe dans les mains.

"As tu seulement été esclave pour tepermettre de juger ma situation à ma place?"

Esclave moi....ahahahah. Je suis d'une famille renommé...la mort me serait préférable.

Il prend le vin.

Et je ne crains pas la mort...

Ne crois tu pas que je suis le meilleur maitre que tu pouvais espérer avoir?

Elle le foudroirai sur place si c'était seulement possible! Elle tressaille, la colère lui faisperdre son calme. Elle marche alors de long en large dans la pièce, espérant se calmer.

"Cela t'ammuses t'il tans que ça de me provoquer?"

Tu joue au même jeu Médée, mais d'une facon différente, ne crois tu pas que lorsque ton corps se cabre, je ne suis pas provoquer, et que mon indignation est grande?

J'ai toujours été un peu vengeur.... et je crois que tu penses comme cela aussi...

Sa voix se fais presque murmure...

"Ne crois tu pas que pour une nuit, juste une nuit..."

Elle baisse les yeux, n'achevant pas sa phrase. A quoi bon? Elle soupire légèrement, puis reprend de l'applomb.

"Allons Alcibiade, la journée a été longue pour tout les deux. Déclarons une trève pour ce soir..."

Elle revien vers lui, souriante, et le fait assoir dans son fauteil.

"Tu vois je suis même prette à me montrer aimable, dans la mesure du respectable... Qu'en penses tu?"

Elle s'assoit près de lui, par terre.