Economie

Les gens sont heureux. Bon nombre de citoyens se lancent dans les affaires diverses et variées. Cela permet de relever le nombre d'employé et les citoyens ont beaucoup de travail.

La C-Meo, célèbre compagnie de transport et de commerce maritime créé par Alcibiade du temps de la démocratie avant que de sombrer dans la ruine aurait été racheté par deux citoyens pour une coquette somme d'après les dires de son ancien propriétaire qui fête sa vente dans les auberges de la cité ...
150 000 oboles, c'est la somme qui circule dans toutes les rumeurs sur la C-Meo ... Trois fois ce qu'elle vaut en réalité !

A peine rachetée, à peine restaurée ...

La C-MEO, rachetée par Délios et Périclès, a déja entrepris son développement et les chantiers navals du Pirée se retrouvent tous employés par la compagnie maritime qui construit pas moins de 5 navires de guerre en même temps et 2 autres bateaux de commerce.
Bien sur, la P&P, entreprise de construction navale des Eupatrides est largement privilégiée dans cette construction car, sur les sept navires achetés, elle en construit pas moins de 5 ...

L'effervescence de ces constructions a ramené de nombreux athéniens et métèques désireux de s'engager comme marins ou marchands pour la C-MEO. Les formidables ressources des deux aristocrates semblent profiter au commerce en ce moment.

Les affaires sont plutôt bonne. Les artisans ont tirés leur bilan et beaucoup sont plus que satisfait de cette année. Certains annonceraient que leurs résultats se répercuteraient sur la cité.

Alors que l'économie semblait bénéficier d'une embellie, les crispations diplomatiques entre Athènes et la plupart des cités de l'Attique rendent le commerce de plus en plus fragile. Déja, certains commerçants annoncent des résultats en déficit et quelques artisans envisagent de fermer.
Les seules cités avec lesquelles Athènes entretient des relations économiques, Oropôs, Laurion et Salamine, sont maintenant fachées avec le régime cimonien et les commandes chutent dangereusement. Les marchands critiquent beaucoup la politique et attendent des solutions.

Grosse commande à l'armurerie du Phoenix qui a convoyé une cinquantaine de chariot remplis d'armes et d'armures au Pirée, en direction des hangars de la C-MEO, en attente d'exportation par les navires de la compagnie qui vont, dit-on, vers l'Eubée en guerre ....

L'enorme commande de l'armurerie du Phoenix est partie un matin à bord de plusieurs navires de la C-MEO cependant, quelques jours plus tard, quelques marins sont revenus à bord d'un navire à moitié brulé et on expliquaient qu'ils avaient été attaqué par des pirates en haute mer ...

Le commerce serait-il à nouveau chahuté près d'Athènes ?