Alcibiade se présente sur l'Agora, . Il invite les citoyens à s'approcher en demi cercle autour de lui et leur parle cordialement.
-Citoyens d'Athènes!
-Certains d'entre vous m'ont déja rencontré! D'autres ont déja entendu parler de moi...en bien en mal... les dieux seuls le savent.
-Je serais juger par vous, je le sais, peut-etre durement, peut-etre d'autres m'ouvriront leur bras et m'accueilleront comme un frère ou un ami disparu.
-Pour ceux qui ont contre moi des griefs... Je vous dirais de n'être pas trop promt à me chercher querelles, et à venir m'entretenir. Car aujourdhui, et tous les autres jours je suis disponibles. J'ai grandi ici à Athènes...je suis fils de Pallas. Et si je me suis déja quereller avec certains, j'ai toujours une grande admiration pour les vaillants hommes fier que vous êtes. D'autres diront que je vous ai quitter, abandonner peut-etre... Mensonge! Car il était alors facile de me retenir, si un seul fils d'Athéna me l'aurait franchement demandé je serais resté...
-Mais cela est le passé lointain...les cheveux ont grisés depuis ce temps, et je suis content d'être permis vous à nouveau. Pour le futur...pour ce que nous réaliseront. Car nous sommes Athéniens, je vous le dis ; Aimés des dieux et puissants! Nous avons jadis chassé Tsartias le tyran de Marathon, qui voulait défier les dieux et faire de nous ses esclaves. Il a même voulu prendre ma femme! Et ils convoitaient les votres! Mais nous lui avons montré que nous ne donnerions à cet avare! Il m'a offert son or pour vous trahir... mais jamais je ne trahirais les Athéniens! Les Athéniens sont mes frères!
Je suis Alcibiade fils de Clinias! De la Famille des Alcméonides! J'ai combattu les tyrans avec Vous! J'ai combattu les assasins à la solde de Thémistocle avec vous! J'ai embrassé et fermé les paupières d'Hippocrate le Sage, que je tenais pour mon père! J'ai tenu la main de la belle Aspasia, que vous avez acceptez gens du Démos de m'offrir! J'ai servi le temple d'Athéna en offrande et devant votre grande prêtresse j'ai plier genoux et elle m'a avoué etre aimé d'Athéna! Elle m'a offert ses grâces. Mais vous vous m'avez offert votre nom; celui d'Athénien... un homme sans cité n'a pas de passé, pas de futur. C'est à sa cité qu'on juge un homme. Et à la cour des princes, on m'a demandé:
"D'ou viens tu homme? À ton regard emplis de Métis, de Feu et de Vertu je dirais que tu es Athéniens est-ce possible?"
J'ai répondu: Je suis Athénien oui, et cet regard brille dans tout les yeux de mes frères!
Ce regard aveugle meme le Roi des Rois qui envi la vertu des Athéniens... et la beauté de leur femmes!
Ah oui je suis grand connaisseur c'est vrai! Mais je suis surtout connaisseur d'hommes. J'ai beaucoup voyager. J'ai vu des hommes étranges... j'ai chercher une cité ou les hommes seraient plus valeureux et digne d'Athènes...et alors je n'ai retrouver...qu'Athènes bien sur!! Car il n'existe pas de cité qui soit comparable à celle que nous habitons!
Les misères ont été dure pour nous ces dernières années. Nous avons tous perdus. Mais je dis que si nous regroupons, que si nous cherchons la sagesse entre nous tous, que si nous suivons les traditions de nos ancêtres, et que nous les enseignons à nos fils, que nous regroupons, et polissons nos boucliers des emblèmes de nos héros. Alors les dieux reviendront sur l'Acropole.
Je suis revenu ici ,et qu'ai-je vu, qu'ai-je entendu mes frères ? L'on assasine des prêtres aimés de Zeus et d'Appolon...l'on mutile des statues du vif Hermès...! Par Athéna allons nous tolérer cela? Nous les Athéniens!? Descandants de Thésée le plus grand des héros?
Que ces hommes se cachent, car si je les trouvent je les tuerais de mes mains, comme j'ai tuer les fous de Spherros qui suivirent Doreos le traitre! L'on a mutiler les phallus des Hermès...mais le mien est toujours intact! Et tous savent que je suis Alcibiade l'indomptable, et que ma fougue je chasserai ses hommes loin de la cité avec votre aide!
Une fois le mal purger, nous irons implorer les dieux. Oui...par une grande fete, une offrande. Car désormais, nous ne pouvons plus continuer sans les dieux, nous devons rechercher plus ardement leur faveurs. Nos filles prépareront la robe d'Athéna, et les jeunes guerriers d'Athènes se prépareront à tuer les puissants boeufs.
Amis! Athéniens!
Le temps de l'unité est revenu.[b] Il y a des cette cités des jeunes magistrats, donc j'ai pu appercevoir les bonnes volontés à l'Ecclesia. Je dis que ceux la, seront nos guides, et qu'avec eux nous reconstruiront la puissante Athènes [/b]du temps de l'honnete Ptolémée, mon frère, du vertueux Délios, mon ami, et du fougeux Zoroastre, mon disciple.
Je suis ici permis vous, et je me mêle à vous...Athéniens je vous le demande: Suis-je des vôtres? Puis-je à nouveau recevoir l'accolade et les baisers des frères et des amis?