/Hippocrate se présente a l'ecclésia, quelques peu intimmidé, et salue les citoyens./
Salutations,
Je vous présnte ici mon rapport sur la mission diplomatique que j'ai effecté sur demande de Zoroastre, avec l'autorisationde l'épistate Pirus, a titre informatif. En ce sens, je ne répondrais pas directement aux questions, car l'épistate ne m'a aucunement autorisé a le faire. Veuillez donc vous adesser a lui.
Je suis partit D'Athènes avec la mission suivante: "établir un premier contact avec Corinthe, de tâter le terrain et de nous rapporter des informations". " tu pourras ramener une proposition de traité diplomatique. Cela s'arrête là, pour l'instant." "Tu recevras des fonds; 50000 oboles, par exemple. Tu seras accompagné d'une escorte restreinte, on va pas non plus faire la guerre... Cinq soldats seront suffisants, n'est-ce pas?""Le choix des cadeaux est soumis à ton appréciation."
Et c'est ainsi que je suis partit avec 5 hommes équipés, 6 chevaux, 1 mule, 1 statuette d'or représentant Athéna, une plaque de beau marbre sur laquelle était gravé un poème, 20 céramique peinte pleine de bonnes olives. L'ensemble du voyage m'a couté 8000 oboles. Je vous dépose ici les 42 000 oboles restantes. La première étape fut de passer a Syndagma pour y ramener des information supplémentaire, et pourquoi pas complémentaire, espérant y trouver des éléments de la géopolitique Corinthienne. De plus, j'ai jugé que le léger détour par cette contrée pouvait se réveler fort interessant pour Athènes.
Arrivée a Syndagma. J'ai du faire le constat qu'il regnait entre Athènes et cet contrée une ignorance et un désintéressement le plus total, réciproquement. Tout au long de mes rencontres , j'ai pu constater que de nombreux marchands de Salamine étaient présents. j'ai cherché a comprendre le fonctionnement du territoire, sa juridiction, son administration. Un aubergiste me précise qu'il n'y a aucun pouvoir politique, que chacun se débrouille dans son coin. Il me cite un très riche marchand répondant au nom Spartiate, Agmon.
je me rend chez lui, et rencontre son intendant. La villa est splendide, les terres immenses et le tout sent l' opulence a plein nez. Le viel homme me répond que oui, la région apartient a son maitre, et qu'il n'envisage aucunement une quelconque relation avec Athènes, dont il n'a rien a faire. N'ayant aucune raison de plus de m'attarder ici, je me met en route pour Eleusis, où je pense trouver moultes renseignements sur Corinthe.
Je trouve sans le moindre problème une auberge relaivement fréquenté. L'aubergiste qui me loge me dit que la dernière guerre a rapproché Athènes et Eleusis, et que je trouverai sans aucun mal des compatriotes. C'est ainsi que je fait la conaissance de Portos, un commercant. En un diner avec lui, il m'explique la situation du commerce entre Athènes, Salamine et Corinthe. Les marchands Athéniens s'arrêtent pour la grande majorité a Eleusis, les marchands locaux prenant le relais ensuite pour Corinthe. Corinthe est d'après lui une immense puissance commerciales, et les athéniens ont très peu de liens directs avec eux. Lui commrce du souffre de Sicile. Il le revent a un marchand Corinthien qui a une échoppe à Eleusis, qui l'exporte ensuite plus au nord. Cette exemple ciblé prouve la richesse du commerce de Corinthe, et ses multiples implantations.
Je me rend au comptoir Corinthiens indiqué par Portos, et demande des renseignements sur le commerce qu'ils entretienne, et sur celui de sa cité plus généralement. Il me répond que leurs rapports avec Sparte sont plus que fructueux. Il me fait l'éloge de sa cité, me disant que c'est la plus belle et la plus prospère. Il accepte de m'acompagner jusqu'a Corinthe, c'est donc avec lui que je fait mon trajet vers le but de ma mission. Je lui propose mes 5 hommes pour le protéger, et il décline, affirmant que les routes ne présentaient aucun danger.
Lors du voyage, il me parle avec admiration et lyrisme de Cypsélos le grand, leur roi plus que populaire. Sa sagesse et sa richesse sont d'après lui légende, et il m'assure que la prospérité actuelle de corinthe lui est en immense partie due. Les aubergiste m'ont vaguement parlé d'une histoire de dauphin, je n'en ai pas plus compris, préférant flaner dans l'agréable ville d'Eleusis, ou la piété et le bon vivre s'unissent...
Je pense que nous devrions intensifier les relations diplomatiques entre Eleusis et Athènes... les marchands sont proches, nos cités ont des interêts commun, nous devrions y trouver un allié de confiance.
Le marchand Corinthien me dépose aux porte du palais royal, et je me présente officiellement. Je suis recu par l'intendant du roi, a qui je présente ma mission. il se révèle communicatif et intéressé. J'obtiens sans grand peine une audience avec le roi. J'ai 3 jours devant moi, je prépare mon audience en prière et en réthorique.
L'audience arrive. Je lui offre les présents, lui adresse tout les égard du a son poste et qu'un diplomate se doit d'avoir. J'ai longtemps prié Hermès pour que l'audience se déroule pour le mieux. je ne vous referais pas ici mon discours, mais je vous présente les principaux axes.
• Athènes reconnait la puissance Corinthienne, et aucune revendication territoriale, diplomatique et commerciale n'est a signaler.
• En ce sens, jamais un esprit de concurence nous effleurera. Nous sommes convaincus que nous avons tous a gagner a une entente pacifique et prospère.
• l'objet de ma visite est de faire tomber les murs de l'ignorance, considérant qu'une entente durable ne peut se baser que sur la connaissance et l'estime. Ainsi, de faire plus ample conaissance entre nos villes et nos dirigeants.
• Poser les premières pierre d'une relation diplomatique, avec comme point de mire une traité de partienariant économique et un autre de non agression. Mais ceci repose sur le dernier point.
Je dois avouer que j'attendais mieux de la scéance... Le roi Cypsélos s'est montré d'une incorrection étonnante de son rang. Il ne m'a aucunement salué, ni moi ni ce que je représentais, Athènes tout entière, il n'a adressé aucun remerciement a mes présents, qui sont pourtant d'une beauté singulière.
Il m'a répondu froidement qu'il ne voyait pas ce que voulais Athènes, qu'il ne voyait aucunement l'utilité d'une ambassade, et que si je voulais un traité, je n'avais qu'a voir ca avec son intendant. Et que de toute facon, ce qui se passait en Attique ne l'interessait aucunement, donc point d'alliance de non agression.
J'ai insisté poliment, précisant mes objecitfs. Il m'a repondu qu'il était très occupé, et qu'il avait entendu parlé d'Athènes beaucoup de palabre et peu de décisions. il m'indique son intendant pour continuer les discussions.
Décu, je constate finalement que c'est tout aussi bien de traiter de cela avec l'intendant, qui est bien plus communicatif.
HJ je suis désolé de glisser un hj en plein rapport, mais je dois préciser quelques points hj qui ont bien malheuresement influencé le ej. La pause du jeu est intervenu a ce moment la du rp, et je n'ai malheuresement pas pu développer cet aspect, pourtant fondamental. Il fau aussi noter que le rp a repris en même temps que le jeu, c'est a dire en l'an 10, et que j'ai du rentrer au plus vite afin de garder une certaine cohérance. (le rp ne devais pas durer aussi longtemps, a savoir 1 an et demi a la date de mon départ. voila...
EJ:
L'intendant m'a offert une visite guidée d'Athènes. J'ai découvert une ville bruyante au mille nationalités et ou tout semble être du commerce ... a droite à gauche on ne parle qu'argent et marchandise !
La plupart des batiments sont blanc ce qui donne à la ville un aspect
clair et magique, et la beauté des temples et des théatre complète l'image d'opulence que la cité a chez ses voisines.
C'est au port que ma surprise fut grande, j'y ai vu la plus grosse installation maritime que je pouvais imaginer... des millier de Bateaux de commerce, mais aussi des voile de guerre sont à quai ou en train de manoeuvrer, le spectacle est grandiose.
L'intendant trouve qu' Athènes un petit peu faible militairement et commercialement pour entreprendre des relations avec Corinthe. Il a cepandant émis des reserves, précisant que les villes se connaissaient finalement peu.
Je me suis ensuite interessé a diverses aspect de corinthe, plus précis, qui peuvent completer une analyse globale.
J'ai appris que le souverains premait tout les grandes décisions, y compris dans le domaine du commerce. Cepandant, les commercant jouissent d'une certaine liberté individuelle, ce qui fait aussi leu force.
Ensuite, je souhaiterait porter votre attention sur des propos que l'intendant a eu...je lui ai demandé ce qu'il pensait d'une liaison diplomatique soutenue, et il m'a répondu _ je cite pour plus de précision: " Cela pourrait être une bonne base de départ, mais un problème me vient à l'esprit nous sommes en bon terme avec Sparte et nous souhaitons le rester, il faut se méfier des géants qui dorment même lorsque nous sommes nous même grand ..."
Il faut analyser cette phrase, peu anodine. Corinthe opense donc que nous sommes en mauvais termes avec Sparte, et qu'une liaison pourrait contrarier l'entente cordiale qu'ils ont avec les dirigeants Spartiates... ensuite, c'est révélateur de la puissance spartiate, qui fait trembler Corinthe; et selon eux, Sparte dort.
L'intendant m'a affirmé que Corinthe ne soutenait aucune logique d'expension territoriale en attique, et que par contre, les colonies les interessait. Corinthe dispose de colonies, notamment en Epire. Je n'ai pas eu plus de renseignment sur ce sujet.
Je lui ai proposé la création d'un réseau de routes pour les pelerins, leur permettant ainsi de voyager leur piété sans encombre et en toute sécurité. Il a répondu que Conrinthe disposait déja d'un réseau convenable, et que il était plutot frileux quant a cette idée.
Ensuite, il m'a dit que Corinthe ne possedait aucun problème de matière premières, mais qu'ils était interessés par les plus bas prix, dans tout les domaines.
Je chaleuresement remercié l'intendant pour le temps qu'il m'a consacré, et pour l'attention qu'il avait apporté a mes idées et projet. Je dois avouer que je me suis plutot bien entendu avec lui, et que je serai partant pour une nouvelle mission las bas. Il faut cepandant garder la tête sur les épaules, nous ne sommes absolument pas a la hauteur de Corinthe pour obtenir un quelconque traité avec eux.
Bien, si vous avez des questions... /montre Pirus/