L'Amurerie d'Aldarion

AVIS A LA POPULATION.


L'Armurerie du Phoenix vient d'ouvrir ses portes, le Maître-d'Armes et son jeune apprenti Altus seront heureux de vous acceuillir.Le magasin d'armes se trouve non-loin de la place principale.L'atelier et le petit entrepôt se situent à côté de la demeure d'Aldarion qui est encore en construction.Celui-ci possède presque tout ce que vous pourrez rechercher, allant de l'épée traditionnelle à la sarbacane et bien d'autres choses faîtes à la demande.

Nous vous attendons.

Sa déambulation dans les rues de la cité mena Pâris près d'une étrange boutique; décidément, les choses avaient bien changé depuis qu'il avait quitté Athènes. D'après l'écriteau hâtivement gravé, cette échoppe était celle d'un armurier et de son apprenti; tout n'était pas encore achevé, des gravats et des poutres traînaient ça et là, et une construction inachevée s'appuyait sur ce déjà fragile ensemble.
Pourtant, ce curieux commerce exerçait un certain attrait sur le promeneur; les armes classiques qui étaient alignées dans un savant désordre semblait de bonne facture, et des.... "armes" étranges, aux formes qui défiaient la logique du combat, brillaient dans la demi-pénombre...
Il fallait qu'il satisfasse sa curiosité; Pâris s'avança autant qu'il l'osa sous le fragile auvent, et héla d'une voix assurée le commerçant invisible:

Oh mon brave, qu'avez-vous donc à proposer à un combattant aguerri qui souhaite renouveler son stock d'armes?

Pirus se promenait et vit une nouvelle échope où il était question d'armes. Intrigué il regarda ce qui était proposé. Beaucoup d'épée ou encore de bouclier trônait. En voulant s'avancer plus près il manqua de renverser un autre citoyen. Ce citoyen avait le regard franc et plut immédiatement à Pirus.

Excuse moi citoyen. J'étais tellement absorbé par cette boutique. Je me présente, Pirus Gracchus de la famille des Eupatrides, citoyen au service de cette cité. Comment te nommes-tu? C'est la première fois que je te vois.

N'obtenant pas de réponse, Pâris fit demi-tour et évita de justesse un citoyen à l'air important qui rentrait dans l'échoppe; celui-ci s'excusa et se présenta: Pirus Gracchus de la famille des Eupatrides... Pâris l'avait déjà vu, il participait souvent et avec à-propos à la vie de la polis, c'était un citoyen éloquent. Il décida donc de se présenter à cet homme amène:

Je me nomme Pâris, de la famille des Alcméonides; je reviens de la lointaine Syracuse, où ma famille fut autrefois exilée. L'appel de la patrie, la vitalité de la cité athénienne m'ont conduit à revenir dans la cité qui éclaire le monde civilisé... C'est donc en simple citoyen, désireux de retrouver le rang de pentacosiomédime qu'avait ma famille avant les fâcheux évènements qui la conduisirent à l'exil... Mais je ne suis pas sûr que la cité me reconnaisse comme un citoyen athénien, bien qu'issu d'un père citoyen athénien et né sur les collines d'Athéna... Pourriez-vous m'éclairer sur ce point?

Et bien vois-tu la réponse est extrèmement simple. Pour être citoyen, il faut être le fils d'un citoyen Athénien et d'une Athéniène, et aussi faire parti d'une des tribus d'Athènes. Cela est expliqué dans la loi sur le renforcement de la démocratie. Certes tout à la fin mais les deux articles sont importants car actuellement ce sont eux qui régissent notre système. Mais vu ton élocution et ta connaissance, je suis persuadé que tu descend d'une grande famille athéniène. Ton père a fait de l'excellent travail.
Décidément la première impression était renforcé par le style. En plus d'un regard franc on pouvait deviner une certaine intelligence.

Je connais bien entendu les règles qui régissent la cité, mais le point de droit particulier qui me tracasse est de savoir si l'opprobe jeté sur mon père Acclion il y a 25 ans, son exil voté par les autres citoyens, me touche encore et m'empêche de devenir un citoyen à part entière...

Malgré son ton pompeux et son attitude légèrement condescendante, Pirus Gracchus semblait être un personnage sincère et à l'écoute des autres citoyens. Pourtant les consonnances de son nom étaient curieuses:

Mais pardonnez mon indiscrétion, citoyen Gracchus, mais votre nom me paraît légèrement... comment dire... latin?

Il espérait ne pas avoir froissé son interlocuteur, et regrettait déjà sa langue trop bien pendue...

Sache que si ton père fut exilé, il a dut commettre une faute sous la tyrannie. Aujourd'hui nous sommes en démocratie et les fautes de ton père ne peuvent rejaiilir sur toi. Ton père a expié ses fautes. Il ne te revient pas à toi d'expier pour les siennes. Je ne connais pas cette hisoitre étant trop jeune, mais je peux t'assurer que si ton père était citoyen alors tu l'es aussi.

Quand à mon nom... tu dis latin? Qu'est ce que ce mot?

J'ai souvenir d'un maîter d'armes de mes parents, dont le nom était... Marcus ou Marius, quelle importance, ce n'était qu'un esclave que nous avions affranchi. Mais il m'avait souvent parlé du Latium, de sa vie dans une patrie lointaine... mais je peux me tromper!

Pâris s'en voulait, il avait réussi à offenser son interlocuteur... comment se rattraper?

Mais oublions ça, voulez-vous, et entrons dans cette étrange boutique!

Entrons.

Artos arrive devant la boutique et vois les deux citoyens artos les saluts

Bonjour citoyens
Tien pirus comment va tu?Au encore un nouveau citoyen comment te nomme tu?Je suis artos 4eme stratege d'athene et medecin.

Puis entrant artos s'adresse a aldarion

Bonjour j'aurais besoin de sarbacanne efficase.

Un nouveau citoyen à l'air important entra à son tour dans l'échoppe. Il reconnut Pirus, et se présenta: Artos, stratège d'Athènes et médecin de son état. Il l'avait déjà rencontré à l'auberge, mais le stratège n'avait pas l'air très physionomiste... Sans attendre sa réponse, le stratège héla l'armurier qui veanit de faire irruption du fin fond de sa boutique...

Euh, je me nomme Pâris, de la famille des Alcméonides... Nous nous sommes déjà rencontrés, cher ami, dans une taverne... mais il est possible que votre état d'alors vous ait fait oublier quelques évènements de la soirée....

Aldarion sortit d'une arrière salle apparement surpris d'avoir autant de monde mais très ravi

-"Bonjour à vous,et que Harès vous accompagnes, heureux de vous revoir Hippocrate, mais cessons de discuter que puis-je faire pour vous?"

étonné d'entendre le nom d'Hippocrate, Pirus se retourna et regarda autour de lui... Mais pas l'ombre d'Hippocrate. Peut-être confond-il les gens?

Bonjour à toi Aldarion, ravi de te rencontrer dans ton échope qui est fort jolie d'ailleurs. Que proposerais-tu à un archonte-roi, ex-officier d'Athènes?

Bonjour aldarion!
Je souhaiterait acheter une sarbacane performante et puissante si tu as.

A paris

Escuse moi si je ne t est pas reconnu le vin monte a la tete certainne fois

Je sais ce que c'est, cher Artos...

Quant à moi, aldarion, je préfèrerai une arme d'homme, de chevalier plutôt qu'une pleutre arme à distance... enfin chacun ses choix!

-"Eh bien messieurs, je pense que je pourrais satisfaire chacun d'entre vous."

L'armurier présenta un certain nombre d'armes à ses clients, allant de l'épée à deux mains à la sarbacanne importée des lointaines contrées sauvages.

A aldarion

Merci je prend.

Artos paie aldarion et reprend pour paris

Sache petit citoyen que les armes a distance peuvent etre beaucoup plus efficase que celle de poin et sache que j'ai aussi une epee et une arme secrete tres pratique.

Alors que le soleil est haut dans le ciel, Délios entre dans l'armurerie d'Aldarion avec son néocore

Salut, Aldarion. Tu voulais me parler m'a-t-on appris ?

Aldarion quitta son comptoir, salant Délios et son néocore.


-"En effet, j'aimerai te proposer quelque chose, mais asseyons-nous."
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