la securité par quarante braves

Maxalas entre d'un pas décidé et prend la parole

citoyens,

apres un premier bilan, nous comptons quarante gardes Atheniens dans Athenes, et 10 danc les cité sous nous tutorat.
avec ces quarantes hommes nous devons, proteger l acropoles, l'ecclesia,l heliée, les portes de la villes, patrouiller au marché, faire quelques fouille au port et proteger les représentants de l etat et des factions.

ils sont en habits civile et malgré tous ils ont un moral digne des dieux.

regardant l assemblée
-pause-
puis reprend

Je demande a Athenes l que les garants de leur securité interieurs soit habillés pas la cité et en plus grand nombre ; disons qu une centaine serait un chiffre convenable pour un bon début.

je vous proposerais prochainement une organisation dine de notre cité

je n ai rien d'autre à dire et vais me retirer afin de vous laisser debattre et décider .

Peu après le départ de Maxalas, Megacles, chef des Pédiens, prend la parole :



Je me lève dès maintenant pour dire que nous n'accepterons aucune augmentation d'effectif de la garde athénienne.
Ce qu'oublie de dire le ... fonctionnaire chargé de la sécurité intérieure d'Athènes c'est que 10 gardes sont affectés à la sécurité de Pisistrate et 10 autres gardes le sont à celle de Lycurgue.
Ainsi, nous disposons en temps normal de 60 gardes à Athènes. Ce qui est amplement suffisant. Personne ne sent de manque de sécurité.

Nous l'avons dit. Nous ne voyons pas de problème à ce qu'Athènes réfléchisse à l'institutionnalisation d'une garde intérieure, mais il est hors de question pour nous, les Pédiens, d'accepter une augmentation des effectifs.

Anchise, le second de Pisistrate est d'accord tout comme Lycurgue.

Je pense en effet qu'il est inopportun d'augmenter le nombre de gardes dans la cité elle-même car la constitution et le déplacement à Eleusis d'un contingent important, si cela est entériné, pourrait se révéler assez coûteux. Cependant, je considère comme je l'ai déjà proposé que la surveillance de notre territoire doit devenir une priorité pour la sécurité de nos citoyens. Je crois que le danger n'est pas à l'intérieur de nos murailles mais bel et bien au-delà de nos frontières.