Jour de marché

C'est un jour comme un autre au marché, sa grouille de monde, citoyens, métèques, femmes et esclaves. Il fait chaud, c'est lété.

Les marchands crient ou sont entrain de marchander.

On entend des Mon vin de spherros, venez gouter mon vin ou des Tissu fin de Phila, pas chère

Lss marchands esseyent de crier plus fort que les autres pour se faire entendre pendant que des femmes se battent sur un morceau de tissu:

-C'est moi qui l'ai vu en premier!
-Comment sa? J'était là la première et en plus cette couleur ne vous irai pas.
-Quoi ?comment osez vous?

Des citoyens passent et discutent politique Bad

Kauplos que pense tu de l'affaire des royalistes?
-Ce que j'en pense, Gulus, c'est qu'il devrai pas revenir, ils sont partit se sont des lâches.
-Peut être mais se sont nos frères...
un marchand de fruit entrain de crier après un groupe d'enfant couvre la conversation des citoyens.

Au voleur, au voleur ils m'ont voler des fruits l'esclave du marchand essaye de les rattraper mais les enfants se faufilent partout et sèment l'esclave qui revient bredouille, son maître s'en prend à lui.
-Comment as tu put les laisser faire?
-Aie! Ouille! vous me faite mal, maître

Bref c'est un jour de marché comme un autre

Murcilagos ce matin là avait décidé de faire quelques emplêtes. Il était donc sorit au marché où il eut une petit sourire amusé en passant devant l'étal de tissus. Il observa avec un grand sourire ce qui se passait sur le marché. Il s'approcha du marchand de fruits et lui dit avec un visage rayonnant

Mets moi deux melons et puis, ajoute sur ma note le raison que le galopin a dérobé

Le marchand qui était entrain de s'en prendre à son esclave, leva la tête et dit

Bonjour, bien je vous met deux melon mais pourquoi vouloir payer pour ces moins que rien?

Il hausse les épaules

Parce que c'est un beau jour, arce que je suis de bonne humeur et que ces moins que rien comme tu les apelles n'a peut être pas d'autre choix pour se nourrir que de dérober des grain de raisin.
Et puis, si ce n'est pas le cas tant pis. Tu y trouves ton compte et moi ça me fait plaisir, c'est le principal non ?

Oui Oui tu as raison.

Je te remercie, tu peut pas savoir comme sa me fait plaisir, cette année a pas été très bonne alors on a moins de fruit et surtout ils coutent plus chère donc si je m'en fait voler je vais être en déficit.

Il s'esclaffe

Mais ne crois pas que je te paierai toute ta marchandise volée.
Comment t'apelle tu ?

Xénos était là, au marché, il n'y avait en effet aucune séance à la Boulê ce jour là. Il se tenait debout derrière son étale d'amphore entouré de nombres de ses employés, il avait envoyé un de ses ouvriers courir, à travers les étroites allés du marché sinuant à travers les étales aux couleurs bariollés et dont la provenance exotique éblouirait certain, pour crier des messages publicitaires il surveillait d'un oeil aiguisé tout ce qui entourait son étale soigneusement. De temps à autre, il criait lui même quelques messages publicitaires, tandis que son esclave, et non sa femme qui filait tranquilement au gynécée, effectuait quelques achats. Il esperait que les ventes seraient stables durant cette triste année durant la quelle les armées menaient de brillantes campagnes.

Le marchand:

Glolos je me nomme Glolos.
Mais non je compte pas vous demander de tout payer

Plus loin, les gens se pressent autour de l'étal de Xénos, certains discutent avec lui de la boulée, de politique extérieur, Klaurios vient même voir Xénos.
Mais il y a aussi des acheteurs comme tous les jours