Magdélon était arrivé à Athène depuis queques temps maintenant. Il avait vut, et tenté de comprendre.
Son sang Héklion lui remontait. Il voulait parler.
Il monta donc, calme, mais engagé, sur le podium. Le peuple commença bientôt à s'assembler, et il commença.Citoyens !
Je vous parle aujourd'hui pour vous mettre face à des choses que vous avez oubliés.
Citoyens ! Voyez votre villes.
Il marqua une pose soigneusement calculéeVoyez les ordures. Souvenez-vous de l'Athène florissante qu'on connu nos aïeux. Pesez, la dette de notre ville. Et voyez ce que vous êtes.
Socrate, homme sage de tout points de vues, nous enesigne des choses transcendantes, qui on fait perler des larmes d'extase au coin des yeux de toutes homme les ayant compris. Il nous le dit.
Il nous le dit, que la soif instiable de richesse, conduit une démocratie vers une oligarchie, la porte de la monarchie.
Nirons nous que c'est ce qui arriva à Athène ? Nous ne le pouvons.
Nierons nous que ces rois nous ont conduits face à une dette, que ne rembourserait point la toison d'or, combien même chacun de nous s'appelerait Jason ? Nous ne le pouvons
Citoyens !
Vos aïeux, batirent cette villes. Il la firent monter et fructifier. Périclès y fit l'agora, et bien d'autres choses. Elle devint une villes dont le nom faisait réver, et dont la vue dépassait ces rèves. Et sur la Pnyx, chaque citoyens etait heureux d'être du succès de sa ville. Cette ville, elle, semble aussi éloignée que les contes qui bercèrent votre enfance.
Aristote, à Nicomaque, a dit des choses fort sages. Parmi elle, il dit :
- Citation :
- Nous voulons que ce soit la loi qui nous gouverne, et non pas un homme seul. Car un homme ne gouvernerait que pour son propre interet, et devienrai vite un tyran.
Tandis que la loi elle, n’a d’autre interet que le peuple et son bien, ainsi que celui de la cité. Car le bien du peuple et celui de la cité est le même. Le rôle de l’assemblée des citoyens, est d’édicter et de diriger cette loi.
Un homme qui a en sont pouvoir les richesses de toutes une cité, ne peut qu’en profiter lui même, et au dépend des autres.
Tandis que le gouvernement des citoyens, par les citoyens, et pour les citoyens ne peut être que rentable pour tous !
Réglons nous mêmes nos problème, dirigeons nous même NOTRE citée, car elle est NOTRE bien, et non celui d’un homme qui ne donne pas sont labeur pour elle !
Citoyens, cette citée est votre ! La terre que vous cultivez, ainsi que sa récolte vous appartient.
Cessez donc d’être des sujets, soyez des citoyens !
Cessez d’être des brebis, soyez vos propre berger, et les maitres de votre étable !
Citoyens, pensez et dirigez, car la vraie justice est la votre !
Magdélon s'essuya le front, et resta face à la foule