Maison de Périclès: Réouverture

*Après un long et épuisant voyage Périclès, accompagné de sa femme et de quelques esclaves arrivèrent, enfin à destination. Le trajet entre Knossos et Athènes évait été rude et non sans péril mais ils avaient rejoint la cité d'Athèna sans dommages.
Périclès descendit de cheval et s'empressa d'ouvrir la porte du char dans lequel voyageait Cassandre. Il lui prit avec toute la tendresse du monde la main et l'aida à descendre.*

Nous voilà arrivé ma chérie, nous voilà dans la ville dont je te parle depuis maintenant beaucoup de temps.

*Ils firent quelques pas et s'arrètèrent à l'entrée de l'allée bordée d'oliviers qui menait à la porte d'entrée. Là, il fit face à sa femme avec dans la voix la vibration produite par l'émotion et la joie.*

C'est ici que pendant tant d'années j'ai vécu. C'est là que je suis né, là que j 'ai grandit, là que j'ai vu mes parents mourrir, là que j'ai observé les changements de là ville, là que j'ai prit la décision d'entrer en politique, là que j'ai donné mes premiers cours.
Ma maison est modeste mais remplie de souvenirs tristes et heureux qui la font vivre.

Comme tu peux le voir, les murs épais et blancs renvoient les rayons brulants du soleil de sorte qu'une perpétuelle fraicheur réside. Même la chaleur étouffante de l'été ne la perturbe pas.
Les pièces sont étriquées mais elles sont acceuillantes et, tu peux me croire, donnent une ambiance spéciale, conviviale et chaleureuse lorsque nous avons des invités.
Dans une toute petite pièce se trouve l'autel dédié aux dieux du foyer qui nous rapellent que c'est grâce à eux que nous coulons des jours heureux.
La Chambre...*il eut un petit sourire*...la chambre, tu la découvriras ce soir.

*Périclès passa sa main dans la chevelure dorée de son épouse. On aurait juré qu'Hephaïstos, dieu forgeron, avait coulé de l'or expressément pour le lui mettre en guise de cheveux.*

Je suis désolé Cassandre de ne pouvoir offrir que celà à une princesse.
Seul j'y ai vécu des jours heureux mais je ne pouvais prévoir qu'un jour j'y installerais en tant qu'épouse une princesse.
Si tu ne t'y plais, j'accepterai de changer de demeure car c'est ton bonheur quej e souhaite.

* la phrase qui suivit fut plus difficile à pronnoncer...mais il y parvint*

Si tu ne te plais à Athènes....je...je consentirai à quitter ma ville et à aller où tu le désireras car je t'aime.

*Cassandre descendit du char en souriant à son époux. Elle était un peu lasse mais voir l'émotion de Périclès l'attendrissait. Elle se laissa guider jusqu'à sa nouvelle demeure. Celle qui avait vu naitre et vivre son cher époux. Son regard se porta ensuite sur les jardins alentours. Tout était certes différents de ce à quoi elle était habituée, mais elle ne s'en souciait que peu, à vrai dire. Elle l'écouta lui décrire ce qu'elle découvrait et allait découvrir ...*

*Elle sourit tendrement alors qu'il lui caressait les cheveux doucement et appuya sa tête contre sa main.Elle lui prit ensuite la main et la porta à son coeur*

Périclès ne soit donc pas si inquiet. L'essentiel est que je sois avec toi. Un palais sans toi serait une prison. Ta maison sera mon havre, notre havre mon amour. Quant à Athènes... c'est une ville que je saurais aimer parce que tu l'aimes.

*Elle caressa la joue de son mari, puis l'embrassa doucement. Pendant ce temps les esclaves transportaient les malles et les affaires ramenées de Knossos. Une esclave laissa tomber un plateau dans l'entrée. Le bruit raisonna, ramenant Cassandre à l'instant présent. Elle recula et sourit à son mari.*

Fais moi donc visiter notre demeure...

Périclès de ses yeux noirs caressa le visage de sa femme, il ne put résister à l'envie de lui décocher, tel une flèche qui atteint sa cible, un baiser sur les lèvres et il lui murmurra à l'oreille

C'est d'accord, je vais te faire découvrir notre...dans quelques minutes maintenant...nid d'amour.

Il passa sa main autour de la taille fine de Cassandre et après avoir remonté l'allée, il entrèrent dans le vieille bâtisse.

La poussière avait quelque peu recouvert les meubles mais tout était resté dans l'état où il l'avait laissé et il en fut émerveillé car c'était comme s'il retrouvait une part de lui-même. Passant son doigt sur une table, il souffla malicieusement la poussière qui s'y était déposée dans la figure de sa femme

Je crois que nous devrions attendre que les esclaves lavent avant de te faire découvrir les vraies richesses de cette maison.

il lui demanda d'un ton faussement angélique

Ne le crois tu pas...princesse ?

Dans la rue...

Une ombre s'approcha, un homme vetu d'un long vetement luxueux en était le propriétaire.

Alcibiade était méconaissable avec un barbe de plusieurs jours, rare était les Athénien qui l'avait vu ainsi.Il était d'une allure plutot lacédémonienne, que d'athènes. Seuls ces yeux brillants le trahissait. Ce regard si empreint de vie et d'émerveillement.

Il entra par la porte encore ouverte, et fit quelques pas à l'intérieur. Il arriva alors que le jeune couple venait de terminer de s'embrasser. Il sourit. Arrivait-il trop tard pour la douce scène!?

Il prit la parole.

Eh bien les Muses ne m'ont pas menti! On m'a rapporté à mes orreilles que le fantôme d'un ami hantait le grand Agora, ou les orateurs de jadis, Hippocrate et Zoroastre, haranguait la foule, l'un porteur de sagesse, l'autre de folie.

On m'a dit qu'un grand homme s'était adressé aux fils d'Athéna, un homme m'a t'on dit qui pourrait faire de l'ombre à mon verbe légendaire, un homme qui parle et chante aussi bien que l'Argonaut Orphée le fils d'Appolon, et qui comme ce héros s'est rendit aux enfers ou règne Hadès et la douce Perséphone.

Toi l'homme aurais-tu réussi le même exploits que ce héros? Revenir des enfers après y avoir implorer le dieu et fait pleurer les âmes exsangues des morts? Les hommes de la cité craignent les esprits revenus des enfers, ils y voient la malédiction des dieux, ils m'ont dit," toi Alcibiade qui est Archonte, va donc t'enquérir de ce spectre. Tu pourras nous dire si il est un homme ou un esprit."

Et moi Alcibiade qui est stupide plûtot me voila devant le "spectre."

On m'a aussi dit qu'à ton bras, une nymphe ou une sylphide t'accompagnait, une créature que les dieux réservent à leur plaisirs, encore une fois on m'a fait peur, moi à qui on attribue les exploits d'avoir réussi à charmer les sorcières de Thessalie et les prêtresses de Lebos et bien attendu les jeunes garcons de la cité d'Arès.

Il souria perversement. Puis plus sérieux.

Je suis Alcibiade Alcméonides, de la lignée du sage Nestor, mais toi qui est tu, ou qui prétend tu être? Si tu marches bel et bien permis les vivants je te demande de me dire ton nom ainsi que celui de ton père.

Il fit un sourire aimable au visiteur qui s'approchait. L'Alcibiade qu'il avait connu voilà des années avait bien changé. Il n'avait pas ces vêtements luxueux mais au moins il se soignait et son menton ne faisait pas conccurence par fourrure aux boucs des colines qui environnaient Athènes.
Ecoutant son discourt, il fut quelque peu déçu de n'être reçu par son ancien ami qu'avec de la crainte mais en même temps amusé par les paroles de ce derniers, il lui répondit:

C'est tout à fait exact, je suis cet homme qui s'est rendu aux enfers, qui a rencontré Hades et son fidèle ( et très impressionnant ) Cerbère. Je suis cet homme qui par deux fois a traversé l'Acheron en compagnie du Passeur.
Mais comme Comme je suis en train det e le répetter, je suis un Homme. Je n'ai pas la prétention de me prendre pour un Héros car je n'ai rien fait qui me fasse mériter ce titre. De plus, quelle abbération de se décerner soi-même des honneurs alors que ce sont la foule et les dieux seuls qui ont le droit te t'élever à ceux-ci.

Par contre, je n'ai aucunement imploré le grand Hades de me renvoyer sur terre puisque c'est par ma volonté que je l'ai quittée. Si je suis ici à l'instant même, c'est uniquement par sa volonté et sur son ordre.

Imitant le ton que l'archonte avait emprunté, il rétorqua

Toi Alcibiade qui est Archonte, il me semble que tes yeux si brillants soient-ils sont bien aveugles si tu vois plus en moi le spectre que l'ami. Toi Alcibiade qui est Archonte, les chants de tes exploits ont peut-être atteint le coeur des hommes et les oreilles des dieux mais tout homme que je sois, je peux te dire qu'ils n'ont pas éclairé ton esprit ni guidés tes paroles...d'un ton un peu plusi ronique...à en croire que ces exploits, tu ne les as pas vraiment réalisés.

Il se détourna d'Alcibiade pour regarder Cassandre avec émerveillement.

Il est vrai que Cassandre est une femme à la beauté rare, au charme excpetionnel, à l'intelligence grande et à l'esprit fin. Mais crois tu vraiment que si elle avait été une nymphe destinée aux plaisirs des dieux, elle serait mon épouse ?
Riant à gorge déployée
...a moins que tu ne me considères comme un dieu !!!
Mais en ce cas, mon pauvre archonte, alors tu te fourveois lourdement et tu offenses nos dieux de les mettre à mon niveau.
Je ne suis ni un dieu, ni un héro, juste un homme.

Mais puisque tes exploits nocturnes me sont venu aux oreilles, je préfère te mettre en garde: ne t'approche pas d'elle.

d'un ton très sarcatique

Sinon, le spectre que tu vois en moi te persécutera pourl a fin des temps.
Et puisque vraissemblablement, c'est un spectre que tu vois, juste un spectre alors je n'ai pas à te donner mon nom.

Il prit sa femme par la main et lui dit avec un sourire radieux

Allons dans le jardin, ses fleurs sont un émerveillement pour le nez et l'ombre de ses arbres une bénédiction pour le repos dont nous avonsj ustement besoin.

*Cassandre était restée silencieuse quand l'intrus s'était révélé. Depuis combien de temps était-il là à les espionner ? Peu lui importait à vrai dire. Quand à ses déclarations... elle se retint de sourire et se rapprocha de son époux, sans un mot.*

*Puis elle détailla ouvertement l'homme de pied en cap. Certes il était ... bien de sa personne. Les dieux pourvoyaient aux desirs de tout homme et de toute femme, n'est ce pas ? Il devait donc sûrement plaire... pourquoi pas. Mais il semblait le savoir et aimait visiblement à le faire savoir. Elle répondit poliment mais avec une note d'indifférence*

Archonte Alcibiade. Ravie de vous rencontrer.

*Elle inclina la tête vers lui en guise de salut et sans plus lui accorder d'attention passa son bras sous celui de son époux et répondit d'une voix tranquille.*

Mon époux faites moi donc visiter. J'ai hâte de pouvoir enfin me reposer avec vous.

Alcibiade se retint pour ne pas éclater de rire joyeux, seul ses yeux brillaient.

Eh bien homme, tu m'as répondu admirablement bien, il y a bien 5 ans que personne ne m'a rétorquer de pareil facon, avec autant d'esprit, d'éloquance de finesse et de parade, ah tu es un rude parleur, tu dois déjeuner en compagnie des muses, diner avec Appollon et souper avec Pan le Satyre.

Mais tu as omis de répondre à mon question, et je ne sais toujours pas ton nom, bien que je le devine, je le prononcerait si la joie de te revoir n'était pas aussi grande. Je suis très ému malgré mon enthousiame.

Quant à mes exploits certes il ne sont pas l'ombre des tiens, seulement ce n'est pas grave si mes exploits ne m'ont rien appris comme tu dis, car j'ai toujours agis d'abord pour les autres et non moi-même. Je crois que c'est ce qu'un certain Périclès m'a montré à une époque plus ancienne.

Hélas déja tu me mets en garde de t'approcher de ta charmante femme! Dois-je en rire ou en pleurer? Mais ne t'inquiète je n'y vois nul offense, car si je posséderai une femme aussi merveilleuse je veillerai aussi sur elle et sans doute avec encore plus d'arrogance. Tu seras donc le seul à subir mes avances.

Il sourit avec malice.

Si votre dame donc j'ignore aussi le nom, consent à vous libérer un peu de votre temps pour ma compagnie.

Il s'inclina devant la jeune femme avec un regard vers elle, bref mais légèrement provocateur.

Mais pour le moment, je vous prive de votre temps à vous installer dans votre foyer. Déranger des amoureux est fort dangereux. Je vais donc me retirer un moment, et nous pourrons nous réunir bientot, autour d'un repas peut-être?

En apprenant la grande nouvelle, Maria s'était précipitée chez Péricles. Elle s'approcha de la maison et vit le couple. Elle les interpella

Péricles! C'est donc vrai...toi? ici? mais comment ce fait-il? je..te croyais enfin.. Si tu savais comme je suis heureuse de te revoir¨! puis elle se tourna vers la femme à côté de Péricles Et bien, je vois que tu as avancé...très jolie femme, heureuse de vous rencontrer mon nom est Maria...et vous?

Puis Maria vit qu'il venait d'arriver et qu'il voulait peut-être un peu d'intimité, elle rougit légèrement

Euh...excusez moi.......je devrais peut-être vous laissez seuls un moment, le temps de vous installez?!

Périclès répondit d'abord à Alcibiade sur un ton froid, indifférent, neutre...mais bien sentit, sans même prendre la peine de le regarder car il avait vu arriver Maria, la femme de on cousin Pirus Gracchus.

Sçi, j'ai répondu à ta question Alcibiade, il semble que le temps a dégradé la qualité de ton audition. Je t'ai dit que je net e donnerais pas mon nom puisque c'est un spectre que tu vois.
Quant à tes jeux pervers, s'il te plait ne me melle pas à celà. J'ai une femme que j'aime, avec qui mes nuits sont bien occupées...occupées par l'amour justement, pas par le vice ni la perversion. son sourire redevint sarcastique Mais pourquoi ne retournes tu pas auprès de ces jeunes garçons auxquels tu as fait allusion. Je suis certain qu'eux ne rechigneront pas à t'accompagner dans toutest es dépravations.

Quand Maria arriva, il écarta bien grand les bras pour la serrer contre lui afin de la saluer. Maria lui avait beaucoup manqué.

Non Maria, reste avec nous. Nous allions au jardin mais tu es la bien venue, nous avons tellement de choses à nous dire depuis tout ce temps. Mais d'abord...

Il vint aux côtés de Casandre pour la mettre en valeur en la poussant légèrement vers l'avant.

Maria, je te présente Cassandre, fille de Theseos roi de Knossos.
Elle est ma femme et je l'aime passionément.

A sa femme

La femme qui se trouve devant nous est Maria, la femme de mon cousin Pirus Gracchus dont je t'ai si souvent parlé.
Je suis certain que vous vous entendrez à merveilles mesdames.

Il entraina les deux femmes à l'arrière de la maison pour être au calme et parler sereinement pendant que les esclaves nettoyaient de fond en comble la maison...et que l'archonte éponyme était laissé sur place sans un mot qui l'inviterait à se joindre à eux.

Il lanca en dernière parole.

Chercherais tu à m'offenser ou me choquer Périclès? Est-ce ainsi que l'on accueil un vieil ami, un discpline et un frère? Moi qui le premier ait accouru ici pour t'accueillir le coeur ému. En le menacant, l'accusant de convoiter sa femme, et en oubliant l'élémentaire courtoisie, puis en l'ignorant comme un abruti et en lui parlant d'une froideur à chasser Perséphone au printemps.

Il semble que ton séjour en enfer t'a fait oublié certaines choses, si mon audition est déficiante il semble bien que ton coeur le soit, à moins que cette superbe créatures ne te l'ai ravi complétement! Si tu ne te nommerais pas Pérciclès je ne te pardonnerai pas ce comportement.

Tu l'as dit tu es un Spectre...et aussi froid, j'espère que d'autres seront mieux te réchauffer.

Alcibiade était une personne fort émotive, bien que le temps avait assagis ces réactions mouvementés de jadis. Il put ainsi se contenir d'exploser. Mais il était fort suceptible aussi.

Je te salue néanmoins MOI, et bon retour à Athènes.

Il claqua son vetement dignement et se retira d'un pas rapide et ferme, la machoire serré. Il le laissa rien transparaitre de sa tristesse.

Cassandre ignora les regards provocateur d'alcibiade, laissant à son époux le soin de lui répondre. Elle préférait ignorer l'arrogance dont il faisait preuve. Puis arriva la jeune femme. Maria. Et elle lui sourit après que son mari la lui ait présentée. Elle s'avança vers elle et l'embrassa avec affection sur la joue.
Je suis heureuse de rencontrer enfin une personne chère à mon époux.
Et je prie les dieux que votre voeu s'exhausse mon époux.

Puis, ignorant Alcibiade qui cachait mal son désapointement, elle suivit son époux et sa cousine Maria.
Elle découvrit une terrasse fraiche, protégée par des vignes grimpantes. Les exclaves, le temps que leurs maitres discutent, avaient anticipé leurs désirs et préparé les lieux.
Coussins, litières, vin et fruits les attendaient.

Cassandre sourit à son époux et se tourna ensuite vers Maria.
Ma chère cousine... j'espère que nous sauront nous lier d'amitié. Périclès m'a tant parlé de sa famille. Mais je vous en prie...

Elle désigna les sièges
Installez vous à votre aise...

Maria, heureuse que son ami et sa femme l'invitèrent à se joindre à eux, elle afficha un grand sourire.. Avant de disparaître dans la jardin en la compagnie de Cassandre et Péricles, elle dit à Alcibiade (avant qu'il s'en aille) :

Bonjour Alcibiade! Heureuse de te voir si ce n'est que pour un court instant! Elle lui sourit et s'en alla

Maria remercia chaleureusement Cassandre pour la place qu'elle lui offrait

J'espère également bien m'entendre avec vous! Je suis également heureuse que Péricles ait trouvé enfin une charmante femme! se tournant vers Péricles ça fait bien longetmps que je te croyais mort et te revoilà le sourire aux lèvres avec une femme! Te voilà à nouveau sur tes jambes entrain de respirer l'air, de plus celui d'Athènes! Eh bien que c'est-il passer? Pourquoi nous avoir cacher ton existence...enfin ta revenue des Enfes? Maria sourit au couple en attendant impatiemment les détails, les réponses à ses questions.

/Gregos se presente a l'entree de la demeure et attends qu'on l'invite a entrer/

Périclès étant au jardin en compagnie des deux dames, c'est le plus vieil esclave de la maison qui reconnu Gregos. Il l'invita à rejoindre Périclès dans le jardin sachant que son maitre serait enchanté.
Là, ce dernier était en grande conversation avec Maria

.....et en fait, Hadès m'avait demandé d'attendre un signe des dieux...

C'est alors qu'il vit le vieux gregos. Il se mit debout et vint donner l 'accolade à "l'amant des chèvres"

Gregos, toi aussi tu es venu !!!
Décidément, c'est le jour des retrouvailles...souvent heureuses.

Le bonheur est partagé mon ami, ah quand je me rapelle mes premieres armes c'etait a tes cotés , toi a phalere moi a halimous....que le temps a passé...et que la vie nous offre des surprises...
Athenes a besoin d'hommes comme toi!

La vie et les dieux mon ami !!!

Sans eux, je ne serais pas ici et je ne l'oublie pas.
Quant à Athènes, elle aura toujours besoin d'hommes qui désirerons sa grandeur, c'est mon cas, et qui oeuvreront pour...j'espère que j'en fais partie.

Très sérieusement, il lui demanda

Dis moi gregos, tes chèvres accompagnent t-elle toujours tes nuits torrides ?

Maria vit Gregos et s'approcha pour aller le saluer

Eh bien bonjour mon cher Gregos!!! Heureuse de te voir et de voir que tu es présent ici! Maria lui sourit puis, laissant Gregos et Péricles parler de leur côté Maria entra en grande conversation avec Cassandre.